Jour 7 « Lourdes, la ville fraternelle »
Depuis le début, le pèlerinage a mélangé les groupes sociaux : non seulement les classes, mais aussi les malades et les bien-portants, les ruraux et les urbains, les jeunes et leurs parents ou grands parents.
A Lourdes, bien des échanges se passent dans la discrétion, voire le silence : ce sont des regards, des sourires, les gestes simples de l’entraide. Comme ils sont beaux, les visages éclairés, le soir, par les cierges de la procession : chacun éclaire plutôt son voisin que lui-même.
Réflexion
Comment la vie fraternelle est-elle possible dans un monde qu’on dit de plus en plus individualiste ? Par l’attention à l’autre et un a priori favorable envers lui ? En laissant à l’autre la liberté d’exister ? En pardonnant ? En me faisant pardonner ?
Méditer le Couronnement de Marie, reine de la paix :
« … et celui qui a fait de vous la reine de la paix, Jésus, votre Enfant, est béni… »