Bernadette Moriau, la 70e miraculée de Lourdes.
Bernadette Moriau, la 70e miraculée de Lourdes.
Une vidéo courte de son témoignage : lien.
Blog de partage de la vie de notre Hospitalité composée de ses pèlerin(e)s malades, handicapé(e)s ou âgé(e)s et de ses membres hospitalier(e)s.
Bernadette Moriau, la 70e miraculée de Lourdes.
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Dans le cadre des États généraux de la bioéthique, la paroisse catholique Notre Dame de Choisille (St Cyr/Loire) vous invite à participer à une rencontre de réflexion :
Interviendront au cours de cette soirée :
-Père Jean-Marie Onfray, service santé-justice de la Conférence des Évêques de France,
-Docteur Donatien Mallet, responsable de l’Unité de soins palliatifs de Luynes,
-Yveline Leblanc, infirmière, service de soins palliatifs au Pôle Santé Léonard de Vinci de Chambray-lès-Tours.
Cette rencontre sera animée par Patrick Choutet.
Merci d'en parler autour de vous, afin que cette réflexion puisse servir au plus grand nombre.
Père Thibault Bruère
Paroisse Notre Dame de Choisille
Méditation du Pape François en la chapelle de la maison Ste Marthe le 3 Mars 2017:
Mais comment fait-on pour payer un dîner de deux cents euros et ensuite faire semblant de ne pas voir un homme affamé à la sortie du restaurant? Et comment fait-on pour parler de jeûne et de pénitence et ensuite ne pas payer les charges sociales de sa femme de ménage ou le juste salaire à ses employés, en ayant recours au salaire au noir?
C’est précisément contre le risque de tomber dans la tentation de «prendre la commission de la vanité», de vouloir apparaître bons en faisant «une belle offrande à l’Eglise», alors que l’on «exploite» les personnes, que le Pape François a mis en garde. Une réflexion sur la signification du «véritable jeûne» née de l’actualité éloquente des paroles du prophète Isaïe (58, 1-9): «N’est-ce pas plutôt ceci, le jeûne que je préfère: défaire les chaînes injustes, délier les liens du joug; renvoyer libres les opprimés, et briser tous les jougs? N’est-ce pas partager ton pain avec l’affamé, héberger chez toi les pauvres sans abri, si tu vois un homme nu, le vêtir, ne pas te dérober devant celui qui est ta propre chair?».
«La parole du Seigneur parle aujourd’hui du jeûne, c’est-à-dire de la pénitence que nous sommes invités à faire en ce temps de Carême: la pénitence pour se rapprocher du Seigneur». Et dans le passage d’Isaïe, «certaines personnes se plaignent parce que leur jeûne n’était pas efficace» et elles demandent: «Pourquoi avons-nous jeûné sans que tu le voies, nous sommes-nous mortifiés sans que tu le saches?». Mais, répond le Seigneur, «c’est qu’au jour où vous jeûnez, vous traitez des affaires, et vous opprimez tous vos ouvriers. C’est que vous jeûnez pour vous livrer aux querelles et aux disputes, pour frapper du poing méchamment». En somme, «d’une part, vous jeûnez, vous faites pénitence, et de l’autre, vous commettez des injustices». En fin de comptes, «ces derniers croyaient que jeûner signifiait maquiller un peu son cœur: “Je suis juste parce que je jeûne”». «Au jour où vous jeûnez, vous traitez des affaires»: c’est «le sens le plus incisif», a dit le Pape, en ajoutant qu’il s’agit d’«affaires sales». Une manière de faire que «Jésus a toujours qualifiée d’hypocrite». Ainsi, «nous avons entendu quand Jésus a parlé de cela, mercredi dernier: “Quand vous jeûnez ne prenez pas un air mélancolique, un visage triste, pour que tous les gens voient que vous jeûnez”». Et «quand tu pries, ne fais pas voir que tu es en train de prier pour que les gens disent: “Mais quelle bonne personne, juste”». En somme, «quand vous faites l’aumône ne faites pas retentir les trompettes».
Toujours dans le passage d’Isaïe, «le Seigneur explique à ces gens qui se plaignent quel était le véritable jeûne: “N’est-ce pas plutôt ceci, le jeûne que je préfère: défaire les chaînes injustes, délier les liens du joug; renvoyer libres les opprimés, et briser tous les jougs? N’est-ce pas partager ton pain avec l’affamé, héberger chez toi les pauvres sans abri, si tu vois un homme nu, le vêtir, ne pas te dérober devant celui qui est ta propre chair? C’est ce que je veux, c’est le jeûne que je veux”». L’autre, en revanche, «est le jeûne “hypocrite” — c’est le terme que Jésus utilise beaucoup — et c’est un jeûne pour se faire voir ou pour se sentir juste, mais entre temps, j’ai commis des injustices, je ne suis pas juste, j’exploite les gens». Cela ne va pas si l’on dit: «Je suis généreux, je ferai une belle offrande à l’Eglise». Dis-moi plutôt, «payes-tu ce que tu dois à ta femme de ménage, à tes employés, ou bien les payes-tu au noir? Les payes-tu comme la loi le demande pour qu’ils puissent donner à manger à leurs enfants?». Donc, «quand Jésus dit: “Quand vous priez faites-le en cachette, quand vous donnez l’aumône ne faites pas retentir la trompette, quand vous jeûnez ne prenez pas un air mélancolique”, c’est la même chose que s’il disait: “S’il vous plaît, quand vous faites une bonne œuvre ne prenez pas de commission sur cette bonne œuvre, elle est seulement pour le Père”».
Dans le passage d’Isaïe, il y a une parole du Seigneur adressée à ceux «qui font ce jeûne hypocrite», qui «semble dite pour notre époque: “N’est-ce pas plutôt ceci, le jeûne que je préfère: défaire les chaînes injustes, délier les liens du joug; renvoyer libres les opprimés, et briser tous les jougs? N’est-ce pas partager ton pain avec l’affamé, héberger chez toi les pauvres sans abri, si tu vois un homme nu, le vêtir, ne pas te dérober devant celui qui est ta propre chair?”».
François a suggéré de penser «à ces paroles: pensons à notre cœur, à comment nous jeûnons, prions, donnons l’aumône». Et «cela nous aidera également de penser à ce que ressent un homme après un dîner qu’il a payé cent, deux cents euros, qui rentre chez lui et voit un affamé, ne le regarde pas et continue à marcher. Cela nous fera du bien d’y penser».
Jeudi 13 Février 2014 de 20h à 22h
Maison de Prière - 32, rue de la Mésangerie à Saint Cyr sur Loire
Intervention du Père Christophe RAIMBAULT :
" la place du chrétien dans les débats de société"
Question importante dans notre monde d'aujourd'hui.....
Venez nombreux....
Nous entrons dans la semaine avant Noël et nous allons vivre en accéléré toute la préparation de la généalogie de Jésus à la visitation. Voici un texte du XII° siècle pour nous faire entrer dans le mystère.
Bon Noël à vous.
Jean Pierre Belliard
Isaac de l'Etoile : L'Eglise, Marie et l'âme chrétienne.
Le Fils de Dieu est le premier né d'un grand nombre de frères, car, étant Fils unique par nature, il s'est associé par la grâce une multitude de frères qui ne font qu'un avec lui : à tous ceux qui l'ont reçu, il a donné de pouvoir devenir enfant de Dieu. Devenu fils d'homme, il a fait de la multitude des hommes des fils de Dieu. Il se les est associés, alors qu'il est unique par son amour et sa puissance, les hommes, en eux-mêmes, par leur naissance selon la chair, sont une multitude ; mais par la seconde naissance, la naissance divine, ils ne sont avec lui qu'un seul. Le seul Christ, unique et total, c'est la tête et le corps.
Et ce Christ unique est le Fils d'un seul Dieu dans le ciel et d'une seule mère sur la terre. Il y a beaucoup de fils, et il n'y a qu'un seul Fils. Et de même que la tête et le corps sont un seul Fils et plusieurs fils, de même Marie et l'Eglise ont une seule mère et plusieurs mères, une seule vierge et plusieurs vierges. L'une et l'autre sont mères ; l'une et l'autre sont vierges. L'une et l'autre ont conçu du Saint-Esprit sans attrait charnel. L'une et l'autre ont donné une progéniture à Dieu le Père, sans péché. L'une a engendré sans aucun péché une tête pour le corps ; l'autre a fait naître dans la rémission des péchés, un corps pour la tête. L'une et l'autre sont mères du Christ, mais aucune des deux ne l'enfante tout entier sans l'autre.
Aussi c'est à juste titre que, dans les Ecritures divinement inspirées, ce qui est dit en général de la vierge mère qu'est l'Eglise, s'applique en particulier à la vierge Marie ; et ce qui est dit de la vierge mère qu'est Marie, en particulier, se comprend en général de la vierge mère qu'est l'Eglise. Et lorsqu'un texte parle de lune ou de l'autre, il peut s'appliquer presque sans distinction et indifféremment à l'une ou à l'autre.
De plus, chaque âme croyante est également, à sa manière propre, épouse du Verbe de Dieu, mère, fille et sœur du Christ, vierge et féconde. Ainsi donc c'est la Sagesse même de Dieu, le Verbe du Père, qui désigne à la fois l'Eglise au sens universel, Marie dans un sens très spécial et chaque âme croyante en particulier. C'est pourquoi l'Ecriture dit : Je demeurerai dans l'héritage du Seigneur. L'héritage du Seigneur, dans sa totalité, c'est l'Eglise, c'est tout spécialement Marie et c'est l'âme de chaque croyant en particulier. En la demeure du sein de Marie, le Christ est resté neuf mois ; en la demeure de la foi de l'Eglise, il restera jusqu'à la fin du monde ; et dans la connaissance et l'amour du croyant, pour les siècles des siècles.
Isaac de l'Etoile, abbé Cistercien 1147 : sermon pour l'assomption
" Ce n'est pas l'abondance de la science qui rassasie l'âme, mais de sentir et de goûter les choses intérieurement." Saint Ignace
Aucune vérité ne parviendra à produire d’effets bénéfiques en vous, si cette vérité ne vous traverse pas. Nulle expérience ne peut vous être rapportée de manière profitable si vous ne l’expérimentez pas à votre tour. Vous aurez beau lire tous les ouvrages sur le bonheur, devenir un lettré en tous points pertinent sur le sujet, nul ne peut vous garantir que vous serez heureux ; peut-être même cette approche trop désincarnée du bonheur risque-t-elle de provoquer l’effet contraire, en vous éloignant radicalement de ce que vous croyiez avoir la maîtrise et en vous laissant à jamais la tête pleine et le cœur vide.
L’être le plus heureux est assurément celui qui ressent le plus de choses intérieurement, et s’en laisse éclairer, rassasier, combler. Tant il est vrai que c’est l’amour — cet élan du dedans qui donne sens au monde extérieur — qui mène à la connaissance authentique.
François Garagnon
Le 24 Novembre, au VINCI, les Mouvements 37 vous invitent à assister à 3 conférences :
Cliquez sur les vignettes pour plus de détails et
La MAISON DE CHEZELLES propose une " retraite Mariale " du 5 au 8 décembre.
Elle sera animée par le père Christophe Liony, prêtre de la communauté de l'Emmanuel.
Renseignements et inscriptions au 02 47 58 52 01
Courriel : amisdechezelles@wanadoo.fr
Benoît XVI a appelé dimanche 21-08-2011, les jeunes catholiques réunis lors des JMJ à Madrid, à diffuser la parole de l'Evangile auprès de ceux qui cherchent des valeurs autres que celles de la société contemporaine. "Nous ne pouvons pas rencontrer le Christ et ne pas vouloir le faire connaître aux autres. Ne gardez pas le Christ pour vous seuls ! Partagez avec d'autres la joie de votre foi", a dit le pape dans son homélie.
Au même moment, à Bourgueil, le Père Michel Taillecours, sans cesse animé à porter le message du Christ dans des groupes de discussion ou par le biai des media modernes, a adressé son homélie en communion avec les JMJ en concluant sur "la grande oeuvre d'évangélisation que l'Eglise doit exercer aujourd'hui".
Avec son autorisation, je vous partage en pièce jointe, cette homélie que j'ai trouvée belle.
Thierry
L'ENSEIGNEMENT DE L'ÉGLISE SUR LA SAINTE TRINITÉ :
Tous les interprètes de nos livres sacrés, tant de l'Ancien Testament que du Nouveau que j'ai lus, et qui ont écrit sur la Trinité, le Dieu unique et véritable, se sont accordés à prouver par l'enseignement des Ecritures que le Père, le Fils et l'Esprit-Saint sont un en unité de nature, ou de substance, et parfaitement égaux entre eux.
Ainsi ce ne sont pas trois dieux, mais un seul et même Dieu. Ainsi encore le Père a engendré le Fils, en sorte que le Fils n'est point le Père : et de même le Père n'est point le Fils, puisqu'il l'a engendré. Quant à l'Esprit-Saint, il n'est ni le Père, ni le Fils ; mais l'Esprit du Père et du Fils, égal au Père et au Fils, et complétant l'unité de la Trinité.
C'est le Fils seul, et non la Trinité entière, qui est né de la vierge Marie, a été crucifié sous Ponce-Pilate, a été enseveli, est ressuscité le troisième jour et est monté au ciel.
C'est également le Saint-Esprit seul qui, au baptême de Jésus-Christ, descendit sur lui en forme de colombe, qui après l'Ascension, et le jour de la Pentecôte, s'annonça par un grand bruit venant du ciel et pareil à un vent violent, et qui se partageant en langues de feu, se reposa sur chacun des apôtres (Mt III, 16 ; Ac II, 2-4).
Enfin c'est le Père seul et non la Trinité entière qui se fit entendre soit au baptême de Jésus par Jean-Baptiste, soit sur la montagne en présence des trois disciples, lorsque cette parole fut prononcée « Vous êtes mon Fils». Et également ce fut la voix du Père qui retentit dans le temple, et qui dit : « Je l'ai glorifié, et je le glorifierai encore (Mc I, 11) ». Néanmoins comme le Père, le Fils et l'Esprit-Saint sont inséparables en unité de nature, toute action extérieure leur est commune.
Telle est ma croyance, parce que telle est la foi catholique.
Saint Augustin
Jacques Perrier
† évêque de Tarbes et Lourdes
La soixante-huitième guérison inexpliquée de Lourdes a été reconnue publiquement par Mgr Delmas, évêque d’Angers, dimanche 27 mars.
Son bénéficiaire, Serge François, témoigne ici.
Dimanche 27 mars, a débuté la récollection de l’Hospitalité de Touraine par une messe à la cathédrale où près de 100 hospitaliers étaient réunis.
Puis, après un repas partagé au lycée Saint Grégoire, nous avons assisté à la conférence du Père Christophe Raimbault sur la guérison et le salut dans l'Evangile. Cet orateur, chaleureusement applaudi lors d'une standing ovation, a su retenir l'attention de toute la salle en s'exprimant avec humour et simplicité. Encore merci à lui.
Nous vous proposons de prendre connaissance de la page d'acceuil du livret de la messe, rédigée par le Père Jacques Legoux (lien) et du résumé de la conférence du Père Christophe Raimbault (lien).
Merci à celles et ceux qui sont venus se joindre à nous à la basilique Saint Martin mardi soir.
En février, pour nous aider à mieux prier, le Père du Sartel nous a brièvement raconté comment était "né" le chapelet :
"C'est saint Dominique au XII ème siècle qui a eu l'idée d'offrir une prière pour les petites gens qui n'avaient alors pas accès à la parole de Dieu. Le chapelet est en effet une prière biblique ; les premiers mots du "je vous salue Marie" sont les paroles de l'Ange à l'annonciation ; les suivants, celles d'Elisabeth à la Visitation.
Cette méditation de la Parole prend tout son sens dans les mystères ; elle nous permet de regarder le Christ avec les yeux de Marie et d'entrer dans leur intimité."
Puissent ces indications nous aider à prier avec plus de ferveur et d'amour.
Claire - Hospitalière
Conférence
L e soin : une vulnérabilité qui rencontre une inquiétude
organisée par le Groupe Ethique Clinique
par Philippe Svandra
Formateur au pôle formation du centre hospitalier Ste Anne,
Maître de conférences associé - Université Paris Est
Marne-la-Vallée.
jeudi 6 janvier 2011 18h30
Faculté de médecine - amphi A