Décès du père de Bertrand Walter
Le père de Bertrand Walter vient de nous quitter, ses obsèques auront lieu demain.
Quelque soit le lieu de la cérémonie, que nos prières soient en union avec toutes celles célébrées ce jour.
Blog de partage de la vie de notre Hospitalité composée de ses pèlerin(e)s malades, handicapé(e)s ou âgé(e)s et de ses membres hospitalier(e)s.
Le père de Bertrand Walter vient de nous quitter, ses obsèques auront lieu demain.
Quelque soit le lieu de la cérémonie, que nos prières soient en union avec toutes celles célébrées ce jour.
SOMMAIRE
Le mot de l’aumônier
Celui du président
Edito
Diversité suite...
Récollection
Visites
Petits frères des pauvres
Saint Vincent de Paul
Pèlerinage de mai
Gizeux
Le carnet
TELECHARGEZ LE BULLETIN ICI
Président de l’Hospitalité de Troyes et Hospitalier depuis plus de 30 ans à l’HNDL, j’ai rédigé ce guide de 550 pages en collaboration avec l’ensemble des présidents, l’Hospitalité Notre-Dame de Lourdes, les Sanctuaires et le soutien de Monseigneur Perrier qui en a fait l’introduction : « Chaque Hospitalité a son histoire propre, sa tenue, sa médaille, son statut, ses coutumes. Mais toutes les Hospitalités forment, en même temps, une grande famille spirituelle, dont les membres auront plaisir à mieux se connaître… Saluons la « première » que constitue ce guide. »
Il sera édité à 10 000 exemplaires et visible gratuitement en ligne. Il est destiné aux hospitaliers de tous les pays, mais consultable par tout le monde. Renouvelable tous les 2 ans, sa sortie est prévue en février 2011 pour les journées internationales des hospitaliers ou sont attendus plus de 5 000 hospitaliers.
Christian Gaurier, Président Hospitalité Troyes.
Vous pouvez visualiser sa maquette sur le site : www.guide-hospitalites.fr
SAINTE ANNE
Mère de la très Sainte Vierge
Sainte Anne appartenait à ce peuple choisi qui, dans les desseins de Dieu, devait donner naissance au Sauveur des hommes ; elle était de la tribu de Juda et de la race de David. Ses parents, recommandables par leur origine, devinrent surtout illustres entre tous leurs concitoyens par l'éclat d'une vie pleine de bonnes œuvres et de vertus. Dieu, qui avait prédestiné cette enfant à devenir l'aïeule du Sauveur, la combla des grâces les plus admirables.
Après Marie, aucune femme plus que sainte Anne ne fut bénie et privilégiée entre toutes les autres. Mais si elle reçut tant de grâces, comme elle sut y répondre par la sainteté de sa vie ! Toute jeune enfant, elle était douce, humble, modeste, obéissante et ornée des naïves vertus de son âge. Plus tard, comme elle sut bien garder intact le lis de sa virginité ! Comme elle dépassait toutes les filles, ses compagnes, par sa piété, par la réserve de sa tenue, son recueillement et la sainteté de toute sa conduite !
Puis, quand il plut à Dieu d'unir son sort à celui de Joachim, combien Anne fut une épouse prévenante, respectueuse, laborieuse, charitable et scrupuleusement fidèle à tous les devoirs de son état, vaquant à propos au travail et à la prière. Dieu lui refusa longtemps de devenir mère ; elle se soumit humblement à cette épreuve et l'utilisa pour sa sanctification. Mais à l'épreuve succéda une grande joie, car de Joachim et d'Anne, déjà vieux, naquit miraculeusement celle qui devait être la Mère du Sauveur et, dans l'ordre de la grâce, la Mère du genre humain. C'est sans doute un grand honneur pour sainte Anne, que d'avoir donné naissance à la Mère de Dieu ; mais il lui revient beaucoup plus de gloire d'avoir formé le cœur de Marie à la vertu et à l'innocence !
L'Église célébrera dans tous les âges la piété maternelle de sainte Anne, et la gloire de sa fille rejaillira sur elle de génération en génération. Le culte de sainte Anne a subi diverses alternatives. Son corps fut transporté dans les Gaules, au premier siècle de l'ère chrétienne, et enfoui dans un souterrain de l'église d'Apt, en Provence, à l'époque des persécutions. À la fin du VIIIe siècle, il fut miraculeusement découvert et devint l'objet d'un pèlerinage. Mais c'est surtout au XVIIe siècle que le culte de sainte Anne acquit la popularité dont il jouit.
De tous les sanctuaires de sainte Anne, le plus célèbre est celui d'Auray, en Bretagne ; son origine est due à la miraculeuse découverte d'une vieille statue de la grande Sainte, accompagnée des circonstances les plus extraordinaires et suivies de prodiges sans nombre. Sainte-Anne d'Auray est encore aujourd'hui l'objet d'un pèlerinage national.
Madame Marléne Hemmédinger
qui venait depuis 2 années avec nous au pèlerinage de Lourdes au mois de Mai
a été rappelée vers Notre Pére.
Ses obsèques auront lieu à Paris et nous serons tous unis par la prière avec son amie Madame Geneviéve Liquard.
Le Journal du pèlerin est né ! Avec lui nous voulons rejoindre non seulement nos partenaires, en particuliertous les pèlerins présents dans l’enceinte du Domaine de la Grotte. Les informations que vous trouverez dans ces pages font la part belle aux événements qui s’annoncent, notamment le spectacle marial de Robert Hossein attendu pour le 13 août au soir.
Je souhaite que cette première édition, datée de juillet-août, soit un instrument de communication utile entre nous, afin que nos liens de communion soient toujours davantage renforcés, dans la lumière du message évangélique de Lourdes.
Père Horacio Brito,
Missionnaire de l’Immaculée Conception,
Recteur des Sanctuaires de Lourdes
Le 16 juillet 1858, l'appel de la Grotte se fait entendre en Bernadette, alors que la dernière apparition remonte à plus de trois mois.
La Grotte étant interdite, avec sa tante et deux autres jeunes filles qui se sont jointes à elle, Bernadette gagne la rive du Gave en face de la Grotte.
Bernadette commence à réciter le chapelet mais, à peine sa prière amorcée, elle écarte et tend les bras comme pour accueillir quelqu'un. C'est la dernière apparition de la Vierge.
Elle est silencieuse : non seulement, la Vierge ne lui a pas transmis de message à communiquer, mais elle ne lui a rien dit. Les apparitions finissent comme elles ont commencé : dans le silence et la simple présence.
Bernadette dira que jamais la Vierge ne lui était apparue aussi belle. Ni les barrières, ni la distance, ni le silence n'ont séparé ce soir-là les deux amies. Bernadette n'aspirera jamais à bénéficier d'autres apparitions.
Elle reverra la «belle Dame» au ciel et cela lui suffit : « J'ai fait le sacrifice de Lourdes, je verrai la Sainte Vierge au ciel, ce sera bien plus beau ».
Mgr Jacques Perrier,
† évêque de Tarbes et Lourdes
ROME, Mercredi 13 juillet 2011 (ZENIT.org) – L'information a été confirmée lundi 11 juillet 2011, annoncent les Sanctuaires de Lourdes : le Vatican offre au diocèse de Tarbes et Lourdes une relique du bienheureux pape Jean-Paul II. Il s'agit d'un fragment de la soutane que portait Jean-Paul II lors de l'attentat dont il fut victime le 13 mai 1981 sur la place Saint-Pierre de Rome.
La relique avait été initialement demandée par les responsables du pèlerinage à Lourdes organisé par la communauté des Béatitudes (13-17 juillet) qui souhaitaient associer la figure paternelle de Jean-Paul II à leur rassemblement centré sur la prière du Notre Père, le thème pastoral proposé par le sanctuaire en cette année 2011.
Le bureau de la cause de postulation de Jean-Paul II a accédé à la demande en allant plus loin puisqu'il a décidé d'offrir la relique au diocèse de Tarbes et Lourdes. Mgr Jacques Perrier, évêque du diocèse, avait dès le départ été associé au projet d'accueillir une relique à Lourdes.
A l'issue du pèlerinage des Béatitudes, dimanche soir 17 juillet, la relique restera donc à Lourdes. Mgr Perrier indiquera ultérieurement la manière dont il envisage de permettre à tous la vénération de la relique.
La relique du bienheureux Jean-Paul II accompagnera donc les pèlerins participant au rassemblement international des Béatitudes à Lourdes. Elle sera présente à tous les temps forts, lors des grandes assemblées. Mais la relique est destinée à tous ! Des moniales cloîtrées de Lourdes vont ainsi être associées à sa vénération durant la nuit, mais aussi la paroisse de Lourdes. Il y aura aussi un temps de vénération prévu dans l'enceinte du sanctuaire, à la basilique Saint-Pie X (vendredi 15 juillet).
Programme de la vénération à Lourdes de la relique du bienheureux Jean-Paul II
La relique arrive le mercredi 13 juillet au sanctuaire
Nuit du 13 au 14 : au monastère des dominicaines cloîtrées
Soirée du 14 juillet : dans le cadre du pèlerinage des Béatitudes, basilique Saint-Pie X
Vendredi 15 juillet (de 14h à 19h) : sanctuaire, chapelle Sainte-Thérèse (au fond de la basilique Saint-Pie X)
Nuit du 15 au 16 juillet : au monastère des carmélites (le 16 juillet est la fête de Notre Dame du Mont-Carmel et le jour anniversaire de la dernière apparition de Marie à Bernadette, en 1858)
Samedi 16 juillet (de 14h à 17h) : église paroissiale du Sacré-Coeur
ZF11071306 - 13-07-2011
Permalink: http://www.zenit.org/article-28482?l=french
Mille fois, Bernadette a dû reproduire les gestes de la Dame devant les personnes qui venaient l'interroger. Malgré toute sa bonne volonté, elle s'exécutait à regret, car elle se sentait incapable de reproduire ce qui s'était produit dans la vision : "C'est qu'elle n'y est pas !"
Le défi est donc immense pour les actrices qui ont eu à interpréter Bernadette. Pourtant, beaucoup s'y sont risquées. Certaines en ont été impressionnées leur vie durant.
Le message de Lourdes est donc fondamentalement visuel, pour Bernadette et pour l'assistance. Il en est de même aujourd'hui. A l'époque contemporaine, l'Eglise a tendance à trop parler et à trop peu montrer. Ce reproche ne vaut pas pour Lourdes.
C'est pourquoi cinéastes et reporters, anciens ou récents, sont attirés par Lourdes, même s'ils ne sont pas de confession catholique.
Voici le lien pour consulter l'article au sujet du film ---> lien
Comme tous les deuxièmes mardis du mois, nous nous réunirons pour le chapelet
le 12 juillet prochain à 18 h 30
à la basilique saint Martin.
Nous prierons plus particulièrement pour tous nos amis malades et tous ceux que le Père a rappelés à Lui.
Nous vous invitons à venir nombreux vous joindre à nous ou à vous unir à nous dans la prière.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer vous pouvez nous faire parvenir vos intentions de prières ; nous les offrirons à la Vierge à chacune de nos rencontres.
Vous pouvez nous les transmettre par l'Email de l'Hospitalité ou en nous envoyant un commentaire.
Fraternellement
Chers Amis Hospitaliers et Hospitalières,
Le local de la rue René de Prie vient d’être une nouvelle fois vandalisé !... vous avez vu les photos et lu l’appel pour le remettre en état, nous remercions chaleureusement tous ceux qui pourront participer à ce grand nettoyage.
Cette action indispensable ne résout pas le problème, ce local est isolé et peu protégé ; l’Evêché ne pouvant pas nous en offrir un autre à moyen terme, nous nous tournons naturellement vers vous.
Nous sommes donc en recherche d’un nouveau local présentant des conditions de sécurité minimum : garage, remise ou dépendance … pour entreposer tout le matériel de l’hospitalité entre deux pèlerinages. La localisation idéale serait dans un rayon de 20 à 30 km autour de Tours et la superficie celle d’un garage pour une voiture.
Si vous avez une possibilité ou si vous connaissez des amis qui pourraient nous dépanner, ceci de façon gracieuse si possible, n’hésitez pas à nous contacter soit par mail hospitalite.de.touraine@gmail.com ou par téléphone 02 47 31 14 48.
D'avance merci pour votre aide.
Le bureau
Bonjour à tous
Je me permets de recommander à vos prières, mon frère Emile de Fontaubert décédé à Quimper le lundi 20 juin 2011
Avec mes remerciements hospitaliers
YVES
Après une première tentative infructueuse, revoici la sélection des photos de notre pèlerinage du 19 au 23 mai 2011 en mode Diaporama (enfin j'espère !)
Thierry
La Fête-Dieu ou Fête du Saint Sacrement du Corps et du Sang du Christ
Nous devons l'origine de la « Fête-Dieu » ou « Fête du St sacrement du corps et du sang du Christ » à une révélation faite à sœur Julienne du Mont Cornillon vers l'an 1210. Cette révélation demandait l'institution d'une fête annuelle en l'honneur du Saint Sacrement de l'autel. Malgré une vive persécution contre sœur Julienne et ceux qui souhaitaient que cette fête se répande, le diocèse de Liège l'institua vers l'an 1245 puis l'Église universelle ajouta cette fête au calendrier liturgique par le pape Urbain IV qui la rendit obligatoire pour l'Église entière en 1264.
Jean XXII, en 1318 ordonna de compléter la fête par une procession solennelle où le très Saint Sacrement serait porté en triomphe. On fait une procession solennelle le jour de la Fête-Dieu pour sanctifier et bénir, par la présence de Jésus-Christ, les rues et les maisons de nos villes et de nos villages. Saint Thomas d'Aquin prépara la liturgie de cette fête, notamment par la création du Lauda Sion Salvatorem et Pange Lingua Gloriosi permettant aux fidèles, une catéchèse simple et belle sur la Présence Réelle.
Le culte eucharistique s'est développé de plus en plus depuis le XIVème siècle. À ce moment, l'Ostensoir apparaît en Allemagne et en France, où l'hostie consacrée est exposée à l'adoration des fidèles. La pratique courante de l'exposition date de la période de l'instauration de la Fête Dieu.
Noëlle LALANGE, qui est venue pour la première fois, au mois de mai, comme hospitalière, vient de perdre son Père.
Les obsèques auront lieu le samedi 25 juin à 9H30 en l'église Saint Georges
à Descartes.
En ce moment, ils sont des milliers à l'œuvre
Un des mots-clés de Lourdes est "l'hospitalité". L'hospitalité est aussi ancienne que la Bible. Elle est même peut-être aussi ancienne que l'humanité : bien des peuples en témoignent, sous divers cieux.
Dans l'Ecriture, l'exemple type de l'hospitalité est le premier des patriarches : Abraham. Voyant passer trois hommes, en plein midi, à proximité de sa tente, il se précipite vers eux et les force presque à s'arrêter pour se restaurer et prendre quelque repos. Mais le texte de la Genèse 28 n'est pas seulement une recommandation pour notre manière de nous comporter. En ces trois hommes de passage, dont l'Ecriture parle tantôt au pluriel, tantôt au singulier, c'est Dieu lui-même qui est venu visiter Abraham et lui promettre la descendance qu'il n'osait plus espérer.
L'hospitalité a donc d'emblée, pour le chrétien, une dimension théologale. "Ce que vous avez fait au plus petit des mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait... Qui vous accueille m'accueille".
Celui qui accueille son frère est, en fait, visité par Dieu et le rapport de générosité se renverse : celui qui accueille reçoit plus qu'il ne donne puisqu'il reçoit ce que Dieu seul peut donner.
L'ENSEIGNEMENT DE L'ÉGLISE SUR LA SAINTE TRINITÉ :
Tous les interprètes de nos livres sacrés, tant de l'Ancien Testament que du Nouveau que j'ai lus, et qui ont écrit sur la Trinité, le Dieu unique et véritable, se sont accordés à prouver par l'enseignement des Ecritures que le Père, le Fils et l'Esprit-Saint sont un en unité de nature, ou de substance, et parfaitement égaux entre eux.
Ainsi ce ne sont pas trois dieux, mais un seul et même Dieu. Ainsi encore le Père a engendré le Fils, en sorte que le Fils n'est point le Père : et de même le Père n'est point le Fils, puisqu'il l'a engendré. Quant à l'Esprit-Saint, il n'est ni le Père, ni le Fils ; mais l'Esprit du Père et du Fils, égal au Père et au Fils, et complétant l'unité de la Trinité.
C'est le Fils seul, et non la Trinité entière, qui est né de la vierge Marie, a été crucifié sous Ponce-Pilate, a été enseveli, est ressuscité le troisième jour et est monté au ciel.
C'est également le Saint-Esprit seul qui, au baptême de Jésus-Christ, descendit sur lui en forme de colombe, qui après l'Ascension, et le jour de la Pentecôte, s'annonça par un grand bruit venant du ciel et pareil à un vent violent, et qui se partageant en langues de feu, se reposa sur chacun des apôtres (Mt III, 16 ; Ac II, 2-4).
Enfin c'est le Père seul et non la Trinité entière qui se fit entendre soit au baptême de Jésus par Jean-Baptiste, soit sur la montagne en présence des trois disciples, lorsque cette parole fut prononcée « Vous êtes mon Fils». Et également ce fut la voix du Père qui retentit dans le temple, et qui dit : « Je l'ai glorifié, et je le glorifierai encore (Mc I, 11) ». Néanmoins comme le Père, le Fils et l'Esprit-Saint sont inséparables en unité de nature, toute action extérieure leur est commune.
Telle est ma croyance, parce que telle est la foi catholique.
Saint Augustin
Les hospitaliers qui souhaitent participer à cette cérémonie et assurer, avec l'ordre de Malte, quêtes et accompagnement de l’Eucharistie, peuvent se mettre en rapport avec Maick (06.80.84.45.59)
10 personnes sont encore nécessaires.
Merci à tous
Amitiés
le bureau
Dix jours après l’Ascension, le jour de la Pentecôte étant arrivé, ils se trouvèrent tous ensemble dans un même lieu. Un bruit soudain se fit entendre. Ils virent apparaître des langues qu’on eut dites de feu. Elles se partageaient, il s’en posa une sur chacun d’eux. Tous furent alors remplis de l’Esprit-Saint, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.
Or, il y avait, demeurant à Jérusalem, des hommes dévots, de toutes les nations qui sont sous le ciel ; Chacun les entendait parler en son idiome... ils disaient « ... comment se fait-il alors que chacun de nous les entende dans sa propre langue maternelle ? » Pierre leur répondit : « Repentez-vous et que chacun de vous se fasse baptiser au nom de Jésus Christ pour la rémission de ses péchés et vous recevrez alors le don du Saint-Esprit ». Eux donc, accueillant sa parole, se firent baptiser.
Marie nous invite spécialement à ouvrir nos cœurs à l’Esprit-Saint. En ces temps, laissons agir Marie dans nos cœurs. Offrons notre vie à Jésus pour qu’il puisse nous fortifier dans la foi.
Comme tous les deuxièmes mardis du mois, nous nous réunirons pour le chapelet
le 14 juin prochain à 18 h 30
à la basilique saint Martin.
En juin, nous prierons plus particulièrement pour tous nos amis malades et tous ceux que le Père a rappelés à Lui.
Nous vous invitons à venir nombreux vous joindre à nous ou à vous unir à nous dans la prière.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer vous pouvez nous faire parvenir vos intentions de prières ; nous les offrirons à la Vierge à chacune de nos rencontres.
Vous pouvez nous les transmettre par l'Email de l'Hospitalité ou en nous envoyant un commentaire.
Fraternellement
Le 26 Juin 2011
à cor et à cri où les Dames de Loire
Stéphanie et Géraud de Laffon nous accueillent dans leur château à Gizeux
Deux façons de participer à cette journée :
1- Participer à un « rallye » dès le matin
il faut s'inscrire rapidement maintenant
Les informations nécessaires seront précisées ultérieurement aux participants.
Point de départ : St Etienne de Chigny, l’église du vieux bourg
2- Nous rejoindre à Gizeux
dans le parc du château à 12h30.
Programme prévu
Rallye pour ceux qui le souhaitent
ET pour TOUS
Déjeuner (celui que vous aurez préparé… à partager)
Visite du château
Visite de la cave …
Célébration Eucharistique
Il est impératif de se faire connaître maintenant
(pour ceux qui ne l’auraient pas encore fait)
il faut prévoir une participation de 10 €
Tél : 02 47 31 14 48 (lundi mercredi AM)
Des hospitaliers ont souhaité pouvoir lire le texte de la conférence donnée par le Père François du Sartel, lors du pèlerinage à Lourdes.
Nous vous proposons donc de cliquer sur ce lien pour ouvrir le document--->lien pour ouvrir le texte