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André Girault est né au Ciel

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André Girault est né au Ciel
Monsieur André GIRAULT est retourné vers le Père.
La cérémonie religieuse de ses obsèques sera célébrée le mardi 8 avril 2025, à 9 h 30, en l'église Saint-Etienne de Tours, suivie de l'inhumation au cimetière La Salle, à Tours.
André est venu à Lourdes avec notre hospitalité. Que, pendant notre pèlerinage qui débute aujourd'hui, nos prières l'accompagnent ainsi que ses proches.

Le livret du pèlerin du 7 au 11 avril 2025

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Le livret du pèlerin du 7 au 11 avril 2025
Et voici ce nouveau et superbe livret du pèlerin préparé par Roselyne Fortin.
Il nous propose des prières, des chants et nous permettra de suivre les processions et célébrations.
Egalement, le plan du sanctuaire se trouve à la fin du livret.
Il sera toujours distribué dans les cars, lors du voyage vers Lourdes, mais vous pouvez aussi le télécharger ci-dessous.
L'affiche avec le QR code du livret (Cf. ci-dessus) sera visible aux deux bulles de l'Accueil Notre Dame.
Bon pèlerinage à tous.

4ème dimanche de Carême - Dimanche de la joie

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4ème dimanche de Carême - Dimanche de la joie

Quel extraordinaire père que celui que nous dépeint Jésus. Sous son toit, deux fils demeurent. Son cadet, un héritier parti au loin tenter l’aventure, qui s’en revient ruiné et penaud. Il a dilapidé le bien familial laborieusement gagné. Il fait amende honorable, il faut bien rentrer dans les bonnes grâces du père pour, à nouveau, manger à sa faim…

Le fils avance, le père accourt. Le père aurait pu prendre son temps, froncer le sourcil en écoutant les piètres regrets du fils, lui infliger quelques remontrances. Eh bien non. Ce père n’écoute rien, n’entend rien, hormis la détresse. Les blablas du cadet ne l’intéressent pas : « Le fils lui dit… mais le père dit à ses serviteurs… »

C’est que le père, aime inconditionnellement ses deux fils. Tout ce qui est à lui est à eux. Son amour n’attend aucun retour, aucune réciprocité, aucune excuse. Il les aime comme ils sont, ingrats. Le cadet est un "festejaïre", tandis qu’une calculette sert de cœur à l’aîné.

Les situations sont évidemment extrêmes. Elles manifestent que les fils ne sont pas à la hauteur du père. Par quelques côtés, nous leur ressemblons comme les disciples qui abandonneront Jésus dès Gethsémani. L’essentiel n’est pas là. Par la figure du père miséricordieux, c’est de son Père et de notre Père des cieux que Jésus nous entretient, mais aussi un peu de Joseph, qui fut pour Jésus la première figure du père… Allons, nous ne sommes pas si mauvais puisque de tels pères existent sur terre et de bons fils aussi !

Comme en miroir regardons ce que chacun, chacune, tour à tour peut-être, tantôt l’aîné, tantôt le cadet, mais surtout méditons sur l’amour du Père. Ce faisant il se pourrait bien, qu’un jour, la grâce aidant, nous lui rendions la pareille et que nous courions nous jeter à son cou !

Abbé Thierry Ebersohl
 

 

 

Un chant pour le Carême

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Un chant pour le Carême

Voici le temps de Dieu,
Ce moment consacré,
Allons à sa rencontre,
Entrons en sa présence.
Quarante jours durant,
D’un pas vif et joyeux,
Marchons sur ses chemins,
Dans l’unité.

R. Rends-nous la joie
D’être sauvés
Et nos lèvres publieront
Ta louange.
Raffermis nos pas,
Viens nous recréer,
Mets en nous, Seigneur,
Un cœur nouveau !

1er dimanche
Guidés par son Esprit,
Nous irons au désert,
Pour écouter sa voix
Au creux de nos silences.
Nous laisserons les biens
Qui captivent nos cœurs
Pour vivre l’essentiel :
Dieu seul suffit.

2ème dimanche
Là-haut sur la montagne,
Emmenés à l’écart,
Nous connaitrons le Fils,
Et nous verrons sa gloire.
Nous goûterons la joie
De rester près de lui.
Voyez comme il est bon
De l’écouter.

3ème dimanche  année C
N’attendons pas demain
Pour revenir à lui,
C’est aujourd’hui le temps,
Le moment favorable.
Le Seigneur nous conduit,
Il travaille en nos cœurs,
Afin que nous portions
De nombreux fruits.

4ème dimanche  année C
Si loin que nous soyons,
Le Seigneur nous attend,
Il guette nos retours
Avec miséricorde.
Il se réjouira,
Nous prendra dans ses bras.
Pourquoi hésitons-nous
À revenir ?

5ème dimanche  année C
Ô Jésus, tu connais
Les secrets de nos cœurs,
Tu traces sur le sol
Des signes d’espérance.
Tu ne nous juges pas,
Ta parole est salut,
Et tu nous encourages :
« Ne pèche plus ».

3ème dimanche de carême - Dimanche de la Croix

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3ème dimanche de carême - Dimanche de la Croix
En ce troisième dimanche de Carême, les textes liturgiques nous montrent notre réalité humaine dans toute sa nudité, dans toute sa misère. Sans exception, nous sommes tous à quelque niveau que ce soit, malfaisants, malveillants, infidèles et souvent inconstants. Disons que nous sommes tous pécheurs, des personnes capables de déviances de façon consciente, comme les Hébreux au désert qui récriminent contre Dieu.
La tradition juive nous enseigne que le rocher par lequel Dieu a abreuvé son peuple était si miraculeux qu’il a accompagné les israélites dans leur errance. Le roc est devenu une image de Dieu comme source de vie, présent au milieu de son peuple. Le Nouveau Testament reprendra cette vision pour parler de Jésus comme le rocher.
 
La Bonne Nouvelle, c’est que Dieu ne nous abandonne pas à notre condition misérable, à notre indigence spirituelle. Dieu s’est fait l’un de nous en Jésus et il mort pour nous alors que nous étions encore pécheurs. Au-delà du récit de la Pentecôte, nombreux sont les textes du Nouveau Testament qui nous parlent de la venue du Saint Esprit sur les disciples. Paul dans la deuxième nous indique l’un des fruits de cette venue : l’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs. Cela nous permet de faire le lien avec l’Évangile de Saint Jean, dans lequel Jésus invite à boire une eau vive. Pour Jésus, celui qui boira de cette eau vive n’aura plus jamais soif. Bref, celui qui vit de l’amour de Dieu dans son cœur par l’action de l’Esprit Saint, n’a plus besoin de courir après l’amour. Jésus en offrant l’eau vive, offre sa propre vie, sa vie de Fils de Dieu. Pour accueillir cette eau pure, nous devons nous laisser conduire par l’Esprit Saint. Sûrement un jour, nous pourrons confesser avec la samaritaine que c’est vraiment Jésus le sauveur du monde.
La rencontre de Jésus avec la samaritaine nous invite aussi à nous défaire des préjugés nourris en nous. Une invitation à assainir les rapports et les considérations que nous entretenons les uns les autres. Que le Seigneur nous accorde cette grâce pour l’avènement de la paix entre les hommes.
 

19 mars : Saint Joseph

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19 mars : Saint Joseph
[... "Saint Joseph a été véritablement père lorsqu’il a consenti à accueillir l’enfant conçu en son épouse par l’action de l’Esprit Saint. Il s’en estimait indigne au point de vouloir la répudier en secret. Mais l’Ange lui révèle alors la mission que Dieu lui confie : prendre chez lui Marie, son épouse, et donner à cet enfant le nom de Jésus. Il ne s’agit pas seulement d’assurer la protection de la mère et d’accorder un statut social à l’enfant. Cette mission comprend une fonction essentielle à toute paternité, celle qui consiste à transmettre un héritage. Cela ne se fera pas à travers un patrimoine matériel dont Jésus n’aura nul besoin sur la Croix. Joseph transmettra en héritage à Jésus une expérience spirituelle, celle d’un juste dépossédé de lui-même par son obéissance à la Parole de Dieu.
La justice de Joseph se traduit par un renoncement total à soi-même pour le service du dessein de Dieu. Son existence est ainsi tout entière marquée du sceau de la désappropriation de soi : dépossédé de son épouse qui engendre sans lui leur fils premier-né, il consent dans la foi à une justice toute autre que celle qu’il imaginait sous le mode d’une répudiation discrète : il ose prendre chez lui la mère de l’envoyé de Dieu. Il ne choisit pas alors d’autre nom pour l’enfant que celui que l’ange lui indique, renonçant ainsi à une prérogative essentielle à la fonction paternelle.
Ce chef de famille est ensuite dépossédé de toute prise de décision : envoyé en exil par ordre de l’Ange, il revient au moment et à l’endroit indiqués par Dieu. Il est dépossédé de sa descendance elle-même en ce fils de prédilection, puisque Jésus sera appelé par ses détracteurs « fils de Joseph » en signe de dérision. Lorsque les foules acclameront Jésus, ce sera en tant que fils de David. Joseph est aussi dépossédé de la parole au sens où l’Evangile ne lui en attribue aucune. Absent de la vie publique de Jésus, il s’efface finalement de ce monde moyennant un départ passé inaperçu et connu de Dieu seul.
Cette vie rayonne en creux d’une lumière évangélique singulière, qui préfigure la vie de Jésus. Jésus renoncera à lui-même jusque sur la Croix puisque l’identité éternelle de l’Amour est la dépossession de soi pour l’autre. L’héritage transmis par Joseph à son fils a ouvert le chemin à l’anéantissement de Dieu en notre humanité. Joseph a consenti à tenir sa place sur cette trajectoire du salut, dans ce mouvement de dépossession par lequel Dieu se révèle et nous sauve tout à la fois en son Fils. Durant sa croissance humaine, Jésus a reçu en héritage de Joseph le témoignage du renoncement à soi. Il a pu contempler en son père adoptif un homme désapproprié de lui-même." ...]

Le meilleur Jeûne pendant ce Carême

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Voici en ce Carême « Le meilleur Jeûne » que nous recommande notre Saint Père, le Pape François. Le Jeûne n'est, en effet, pas forcément lié à la nourriture et notre Pape François nous invite à suivre d'autres types de Jeûnes pendant ce Carême.
« Je recommande ce qui suit comme le meilleur Jeûne pendant ce Carême :
- Jeûnez de mots offensants et transmettez seulement des mots doux et tendres.
- Jeûnez d'insatisfaction/ d’ingratitude et remplissez-vous de gratitude.
- Jeûnez de colère et remplissez-vous de douceur et de patience.
- Jeûnez de pessimisme et soyez optimiste.
- Jeûnez de soucis et ayez confiance en Dieu.
- Jeûnez de lamentations et prenez plaisir aux choses simples de la vie.
- Jeûnez de stress et remplissez-vous de prière.
- Jeûnez de tristesse et d'amertume, et remplissez votre cœur de joie.
- Jeûnez d'égoïsme, et équipez-vous de compassion pour les autres.
- Jeûnez d'impiété et de vengeance, et soyez remplis d'actes de réconciliation et de pardon.
- Jeûnez de mots et équipez-vous de silence et de la disponibilité à écouter les autres.
Si nous pratiquons tous ce style de jeûne, notre quotidien sera rempli de paix, de joie, de confiance les uns dans les autres et de vie.
Ainsi soit-il. »
Pape François

2ème dimanche de carême -La transfiguration

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2ème dimanche de carême -La transfiguration
Le mystérieux épisode de la Transfiguration jette une admirable lumière sur la « gloire » de Jésus, c’est-à-dire sa divinité.
Plusieurs traits sont empruntés aux théophanies (manifestations de Dieu) de l’Ancien Testament : la montagne, la nuée, la blancheur… ; la présence de Moïse et d’Elie, qui symbolisent l’un la Loi, l’autre les Prophètes, manifeste que Jésus récapitule toute l’histoire du peuple d’Israël.
Mais le plus important est la voix qui se fait entendre du ciel : « celui-ci est mon Fils, celui que j’ai choisi : écoutez-le ! ».
Comme lors du baptême dans le Jourdain (dimanche 9 janvier), la filiation divine de Jésus est explicite : celui-ci apparait à la fois humain (le compagnon des apôtres) et divin (son visage, son vêtement deviennent lumineux).
Jésus est le Fils Bien-aimé. Il est le sommet de la Révélation. La Transfiguration fortifie notre foi et nourrit notre espérance car elle nous est donnée comme une promesse. Ce qui nous est promis aujourd’hui, c’est de participer au monde de Dieu, au côté du Fils glorifié.
 

1er dimanche de Carême

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La première tentation du Christ – « Le diable lui dit alors : “ Si tu es Fils de Dieu, ordonne à cette pierre de devenir du pain.” Jésus répondit : “ Il est écrit : L’homme ne vit pas seulement de pain.” » [Évangile selon saint Luc 4, 3-4↗︎]

La première tentation du Christ – « Le diable lui dit alors : “ Si tu es Fils de Dieu, ordonne à cette pierre de devenir du pain.” Jésus répondit : “ Il est écrit : L’homme ne vit pas seulement de pain.” » [Évangile selon saint Luc 4, 3-4↗︎]

Même Jésus, au fil des jours, peut être tenté. Le Fils de Dieu, sur la terre des hommes, est soumis aux lois de la tentation – il y est même « poussé par l’Esprit ». Impensable ? Impossible ? Non, Jésus de Nazareth n’est pas resté « cloîtré » dans un paradis lointain. Il nous est décrit tenté comme tout homme, un homme comme nous, avec ses désirs et ses rêves, ses hésitations et ses fantasmes aux multiples facettes. Notre Dieu est aussi un homme, né comme nous d’une femme au terme d’une longue lignée et dont tous les ascendants n’ont pas toujours mené une vie exemplaire. Il est issu comme nous d’hommes et de femmes chahutés et tentés par la vie, blessés, découragés, perdus souvent…
Mais la tentation n’est pas le péché. Être tenté, ce n’est pas pécher. Nous pouvons être victorieux de la tentation et en finir alors avec le péché ! « Ne nous laisse pas entrer en tentation », disons-nous dans la prière du Notre Père, mais faisons appel à notre foi et à notre conscience pour ne pas « tomber » dans le péché. On dit que Jésus a épousé la totalité de la nature humaine, il n’a jamais « fait semblant » ; dans sa lettre aux Philippiens (2, 6-11), Paul l’annonce avec force : « Devenant semblable aux hommes il s’est comporté comme un homme. » On connaît les trois tentations de la part du Malin qu’il a subies au cours des quarante jours dans le désert – c’est-à-dire le temps nécessaire pour entendre la volonté de Dieu et s’imprégner de ses paroles. Quarante jours et quarante nuits deviennent ainsi symboliquement le temps pour une véritable rencontre avec Dieu.
Le carême des chrétiens s’enracine là. Le temps venu, Jésus rejettera les ruses tentatrices de Satan, celui dont la mission est de « faire tomber » : « Les anges te porteront sur les mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre. » (Ps 90, 12.) Au moment de la mort adviendra l’ultime tentation de perdre confiance dans le Père : « Allant un peu plus loin, il tomba face contre terre en priant, et il disait : Mon Père, s’il est possible, que cette coupe passe loin de moi ! Cependant, non pas comme moi, je veux, mais comme toi, tu veux. » (Mt 26, 39.) Et, sur la croix : « Jésus s’écria d’une voix forte : “Eloï, Eloï, lama sabachthani ?”, ce qui signifie : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (Mc 15, 34.)
Jésus, dans sa présence humaine, montre à chacun quelle est sa destinée personnelle : « Dieu s’est fait homme afin que l’homme devienne Dieu. » (Saint Irénée.) Laissons-nous tenter par Dieu et sa parole, et rejetons paisiblement les fourberies de Satan, tandis que nous avançons jour après jour vers Pâques.
Bernard Rivière

Nicole Lacroix a rejoint le Père

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Nicole Lacroix a rejoint le Père
Nicole Lacroix est née au Ciel le 6 mars.
La cérémonie de ses obsèques se déroulera jeudi 13 mars à 14 heures en l'église St Pierre St Paul de Joué les Tours.
Nicole est souvent venue à Lourdes avec notre hospitalité
Que nos prières l'accompagnent ainsi que ses proches.

Mercredi des Cendres

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Mercredi des Cendres
Le Mercredi des cendres est traditionnellement un jour de pénitence pour les chrétiens. Durant la célébration de la messe, où les ornements sont de couleur violette – couleur de la préparation du cœur, de l’attente, du pardon et du deuil –, la liturgie est marquée par un rite particulier. Avec de la cendre (des rameaux de l’année précédente qui ont été brûlés), le prêtre trace une croix sur le front des fidèles, en signe de la fragilité de l’homme, et il prononce une invitation à la conversion, qui peut être par exemple : « Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle » (Mc 1, 15).
Cette célébration ouvre les 40 jours du carême, où l’Église fait mémoire des 40 jours que Jésus a passés dans le désert, comme le narrent les Évangiles. D’après la tradition qui découle de ce récit, le fils de Dieu, tenté par le diable en personne, a résisté aux sirènes de l’orgueil, des possessions matérielles, ou encore du pouvoir mondain.
Origine des Cendres
Le mercredi des Cendres est le jour qui marque l'entrée en Carême. Ce jour est l'occasion d'une célébration lors de laquelle le prêtre trace une croix avec de la cendre sur le front des fidèles en prononçant un verset de la genèse « C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière1. »
Les cendres dont on se sert pour tracer la croix sont issues de la combustion des rameaux bénis l'année précédente. L'utilisation de ces cendres est une évocation symbolique de la mort, et le versé récité doit inciter le croyant à l'humilité et à la piété.
Le carême commence donc par un rappel solennel de la condition humaine et s'achève avec les Pâques par une célébration de la vie, celle de la résurrection du Christ.
Traditions de pénitence
Entre le 11ème et le 14ème siècle, les pratiques actuelles ont été établies et le jour des Cendres tel qu'on le connait s'est répandu dans l'Église d'occident. Auparavant, le mercredi des Cendres était drapé d'un autre rôle, il était un jour de pénitence.
Vers 300, le jour des Cendres est adopté localement par certaines Églises qui l'intègrent au rite d'excommucation temporaire ou de renvoi des pécheurs publics, une pénitence imposée aux personnes coupables de péchés capitaux. Dès le 4ème siècle, ce jour marque à Rome le début de la pénitence canonique accomplie publiquement, jusqu'à l'absolution du jeudi saint.
Au 7àme siècle, un rite public de pénitence est pratiqué durant lequel les pénitents se présentent aux prêtres, confessent leurs fautes et, lorsque celles-ci sont graves et publiques, reçoivent du pénitencier un « cilice rugueux couvert de cendre » (tunique ou une ceinture portée sur la chair par mortification4) et doivent se retirer dans un monastère.

Anne-Marie Tonnerre est née au Ciel

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Anne-Marie Tonnerre est née au CielAnne-Marie Tonnerre est née au Ciel
C'est avec émotion que nous vous faisons part du retour vers le Père, le 18 février 2025, de notre amie pèlerine Anne-Marie Tonnerre qui nous a accompagnés de nombreuses années à Lourdes.
La cérémonie de ses obsèques se déroulera à la chapelle de l'EHPAD de Luynes, le 26 février à 15 heures 15.
Que nos prières l'accompagnent ainsi que ses proches.

Antoinette Jagou est née au Ciel

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Le 27 avril 2024 à Château-Gontier, pour fêter ses 90 ans.

Le 27 avril 2024 à Château-Gontier, pour fêter ses 90 ans.

Le 11 février, Antoinette, notre amie hospitalière, s'est laissée porter toute la journée de la fête de Note-Dame de Lourdes, entourée de sa fille Claire, ses petits-enfants Pauline, Lucien et ses fils.
Puis dans la nuit, elle a rejoint paisiblement le Père pour retrouver son époux Maurice et son fils Bernard.
Ses obsèques seront célébrées le 18 février à 10 heures 30 en l'église Saint-Gervais-Saint-Protais de Savonnières.
Que nos prières les accompagnent tous.

Journée mondiale du Malade et Dimanche de la Santé

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Journée mondiale du Malade et Dimanche de la SantéJournée mondiale du Malade et Dimanche de la Santé
Tout d'abord, le 11 février 1858, Bernadette Soubirous, âgée de 14 ans, part du Cachot où loge toute sa famille, avec sa sœur et une amie pour aller chercher du bois mort au bord du Gave, à Massabielle, il fallait se chauffer. Tout a commencé par le bruit du vent dans les peupliers… Dans le creux du rocher, Bernadette aperçoit une « dame en blanc » : « Je croyais me tromper. Je me frottai les yeux… Je regardai encore et je vis toujours la même dame »
« Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours ». La Vierge Marie vient ensuite à sa rencontre 18 fois entre février et juillet.
 
Puis depuis 1992, l’Église universelle célèbre tous les 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, la Journée Mondiale des Malades. Celle-ci se décline dans les diocèses français en un Dimanche de la Santé, occasion de rappeler que l’accompagnement des personnes souffrantes est une priorité évangélique, mais aussi de sensibiliser chacun pour préserver le don de la santé.
Un dimanche de la santé pour quoi ?
La vocation du dimanche de la santé est vraiment de rendre visibles les acteurs de la santé dans les communautés chrétiennes : l’ensemble des « soignants », les « aidants », les visiteurs de malades, les équipes d’aumônerie, les hospitalités diocésaines et autres associations laïques… tous ceux qui œuvrent (parfois dans l’ombre) et qui sont tellement importants, tellement essentiels pour la prise en charge des personnes malades, âgées, handicapées.
Le dimanche de la santé est l’occasion de les bénir particulièrement… Non pas pour qu’ils soient vus, mais pour que la communauté prenne conscience de leur nombre et de leur existence ! On prie souvent pour les malades… Prie-t-on suffisamment pour ceux qui prennent soin d’eux, parfois eux-mêmes, fatigués ou avec des problèmes de santé ?

Aline Brossier est née au Ciel

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Aline Brossier est née au Ciel
Nous venons d'apprendre qu'Aline Brossier née Croizon, a rejoint le Père le 14 janvier.
Aline et son époux Serge, retourné auprès du Père en 2023, nous ont accompagnés pendant de nombreuses années à Lourdes.
La cérémonie religieuse a été célébrée le vendredi 17 janvier 2025, à 14 h 30, en l'église de Saint-Paterne-Racan.
Que nos prières les accompagnent, ainsi que toute leur famille.

Présentation du Seigneur au temple

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Présentation du Seigneur au temple
La présentation de Jésus se rencontre uniquement chez Luc (II, 22-39).
Comme les festivités qui entourent la Nativité, la fête de la Chandeleur est liée à la lumière, mais aussi à la purification, la fécondité, la prospérité, toujours très proches dans les croyances et les traditions.
L’Eglise célèbre la Présentation de Jésus au Temple, quarante jours après Noël. Cette fête est mieux connue sous le titre de Chandeleur ou fête de la lumière car elle est toute illuminée de ce verset de l’évangile de la messe prophétisant Jésus « lumière pour éclairer les nations ».
Les lectures du jour nous appellent à la suite du vieillard Siméon à nous laisser éclairer par l’Esprit Saint et à accueillir le Christ dans notre vie. Vivre en chrétien la fête de la Chandeleur, c’est remettre le Christ au centre de nos préoccupations.
Siméon se situe dans la rencontre authentique et confiante avec Dieu qui lui apporte la paix et dont il se sait aimé. La liturgie nous invite à entrer dans cette démarche, à aller à la rencontre du Christ, guidés par l’Esprit Saint, pour qu’au moment de quitter ce monde, nous puissions dire à la suite de Siméon :
« Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s’en aller dans la paix selon ta parole. » Lc 2, 22 – 40
Et son père et sa mère étaient dans l’étonnement pour les choses que l’on disait de lui. Et Siméon les bénit, et il dit à Marie sa mère : « Voici qu’il est placé pour la chute et le relèvement d’un grand nombre en Israël, et pour être un signe en butte à la contradiction, – vous-même, un glaive transpercera votre âme, –afin que soient révélées les pensées d'un grand nombre de cœurs. » (Luc, II, 25-35 ; trad. A. Crampon)
puis celle de la vieille prophétesse Anne :
Il y avait aussi une prophétesse, Anne, fille de Phanouel, de la tribu d'Aser ; elle était fort avancée en âge, ayant vécu, depuis sa virginité, sept ans avec son mari, et veuve jusqu’à quatre-vingt-quatre ans. Elle ne quittait point le temple, servant Dieu jour et nuit par des jeûnes et des prières. Survenant à cette heure, elle se mit à louer Dieu et à parler de l'enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. (Luc, II, 36-38 ; trad. A. Crampon)

Christiane Ferré est née au Ciel

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Christiane Ferré est née au Ciel
Christiane Ferré, née Hérard, a rejoint le Père le 16 janvier 2025 à l'âge de 100 ans.
La cérémonie de ses obsèques se déroulera le 24 janvier à 15 heures en l'église saint Pierre de Mazières de Touraine.
Christiane a servi en qualité d'hospitalière de Touraine, pendant de très nombreuses années ; que nos prières l'accompagnent ainsi que ses proches.

Jacques Augey est né au Ciel

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Jacques Augey est né au Ciel
C'est avec émotion que nous vous faisons part du retour vers le Père le 12 janvier, de Jacques Augey, ancien hospitalier. Ses obsèques se dérouleront le 17 janvier à 15 heures en l'église saint Germain de Bourgueil.
Que nos prières l'accompagnent, ainsi que son épouse Marie-Françoise, ses fils Vincent et Céline, Benoît et Isabelle, ses petits-enfants, dont Alexandre, Thomas et Blandine, tous hospitaliers de Touraine.

Fête du baptême du Seigneur

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Fête du baptême du Seigneur
Le baptême de Jésus, célébré le dimanche qui suit l’Épiphanie, est un des événements de la vie de Jésus les plus assurés historiquement. Les quatre évangélistes le mentionnent.
C’est la première manifestation publique du Christ. Lors de sa naissance à Bethléem, il n’avait été révélé qu’à quelques privilégiés. Aujourd’hui, tous ceux qui entourent le Baptiste, c’est-à-dire ses disciples et la foule venue aux bords du Jourdain, sont témoins d’une manifestation plus solennelle, que Jean soulignera d’ailleurs lui-même.

Fête de l’Épiphanie

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Fête de l’Épiphanie
L’Évangile selon saint Matthieu ne dit pratiquement rien des Rois mages, qui sont au centre de cette fête. Qui étaient-ils ? Combien étaient-ils ? On ne le sait pas vraiment. La tradition et la piété populaire ont comblé ces lacunes à travers les siècles.
 
Les noms des mages
C'est dans l'Évangile de Matthieu que l'on trouve le récit de l’Épiphanie. Il raconte que des mages venus d'Orient ont été guidés par une étoile jusque vers Jésus qui venait de naître. "Ils se prosternèrent devant lui. Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents : de l'or, de l'encens et de la myrrhe.", écrit-il. Matthieu ne nomme pas du tout les mages dans son évangile. Le récit ne dit même pas qu'ils sont trois. C'est sans doute parce qu'on y lit qu'ils offrent l'or, l'encens et la myrrhe que la tradition populaire en a déduit qu'ils étaient trois.
Ce n'est que vers le VIe siècle qu'apparaissent les noms de Gaspard, Melchior et Balthazar. Les mages n'étaient pas des juifs : ils représentent tous les non-juifs, tous les peuples de la terre pour qui Jésus est né. Leur provenance géographique les disperse au gré des découvertes de l'époque - vers le XIVe siècle : Gaspard en Asie, Balthazar en Afrique, Melchior en Europe. La curiosité populaire les a imaginés dans différents rôles de représentation, comme l'évocation des trois âges de la vie : la jeunesse, l'âge mûr et la vieillesse.
 
Portrait des Rois mages par Jacques de Voragine
« Le premier des Mages s’appelait Melchior, c’était un vieillard à cheveux blancs, à la longue barbe. Il offrit l’or au Seigneur comme à son roi, l’or signifiant la Royauté du Christ.
Le second, nommé Gaspard, jeune, sans barbe, rouge de couleur, offrit à Jésus, dans l’encens, l’hommage à sa Divinité.
Le troisième, au visage noir, portant toute sa barbe, s’appelait Balthazar ; la myrrhe qui était entre ses mains rappelait que le Fils devait mourir ».

Marie-Aude Travers a rejoint le Père

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Marie-Aude Travers a rejoint le Père
Après notre faire-part du retour vers le Père de Marie-Aude Travers, la fille de Claudine et Philippe Lemaure (hospitaliers), nous vous indiquons que ses obsèques se dérouleront le 8 janvier à 14h30 en l'église de Surzur (Morbihan).
Qu'à ce moment-là, nous puissions prier pour Marie-Aude, son époux Stéphane, ses filles, nos amis Claudine et Philippe et toute leur famille.

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